Bienvenue à Everwilde, le point de rencontres de tous les contes et de toutes les histoires ayant jamais existé… Lieu merveilleux où les personnages de contes et légendes se retrouvent pour poursuivre leur destinée toute tracée, Everwilde s’est dressée il y a bien des années, terre créée par les frères Grimm afin d’y accueillir les personnages et de s’assurer que les histoires ne cessent d’exister. Afin de s’assurer que le monde merveilleux et ses convives puissent exister sans problèmes, un puissant artéfact a germé de ces histoires : le Livre des légendes et contes se devait d’assurer la continuité de ce qui était inscrit en son sein. Il s’assurait ainsi que les évènements clefs des contes ne soient détournés, mais c’était bien avant que certains ne commencent à nier leur destinée.

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[EVENT#1] Le Festival de la Citrouille NoireEverwilde :: Quartier du Bien :: Place de la Couronne
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NoctilucentAlliance des Récits Évadés
Alliance des Récits Évadés
# Re: [EVENT#1] Le Festival de la Citrouille NoireMer 6 Mar - 9:04
Elle pose des questions et si j’esquive les réelles réponses, je ne peux pas m’empêcher une œillade curieuse envers ta personne, me méprenant directement sur la raison de tes propos. Oh; tout le monde chercher Aubain, au fond. Pour une bêtise faite et pour une promesse brisée, même pour les bêtises qu’il ne fait pas. C’est son lot, comme on dit; on apprend à l’aimer comme il vient ou alors on passe son chemin. Mais dans ta manière de te tenir, dans ton langage corporel, il y a quelque chose qui me raconte une histoire de toute part inventée, mais qui suis-je pour ne pas l’écouter, pour ne pas y croire?

Après tout j’ai grandi sur les histoires grandes et petites, sur des mensonges à demi dits et des vérités qui font mal. Je crois, c’est dans l’innocence de ma nature, quand bien même je voudrais résister.

Lequel de tes gestes m’a fait me poser des questions? Peut-être un mouvement de ton bras qui s’est arrêté au niveau de ton abdomen, ou alors c’Est le ton pressant de ta voix. Je te regarde avec curiosité, deux saphir étincelants t’observant sans rien dire… mais en jugeant beaucoup. Vraiment, Aubain? C’est ça, ton type de femme? Oh – est-ce la jalousie qui me fait parler ainsi? Mais dans ce cas-ci, je serais jalouse de quoi, au fond? Mais elle est grande (et moi je suis petite), elle a les cheveux courts (et moi les cheveux longs), elle sent l’humaine (et moi je suis animale); autant de choses qui marquent un fossé entre elle et moi.

J’allais demander – directement, un petit t’es à combien de mois?, mais papa, lui, a vu clair dans le jeu dans lequel moi je me suis enfoncé. Elle a reconnue dans ta personne une sentinelle, et elle a compris le danger pour Aubain, parce qu’aucune sentinelle ne le cherche pour quelque chose de bien. Dans quels beaux draps il s’est mis, encore? Remarquez, il n’a pas besoin de faire grand-chose pour ça. Mais la peur se repend dans mon sang comme du vitriol alors que la démarche de maman change – et je le connais depuis assez longtemps (toute ma vie) pour en comprendre le danger. Une sentinellles à pas dix centimètres de moi; une sentinelle à portée de main.

Il serait si facile d’étendre les doigts, de se saisie et de brûler

Mais je n’ai pas le temps de répondre à des pulsions aussi grotesques; une voix s’élève. De la scène; alors je ne porte pas d’abord attention, parce que les artistes se donnent tout naturellement en spectacle et qu’une voix, donc, qui provient de la scène n’a rien d’inhabituel, et puis moi j’ai à me concentrer sur mon boulet humain et la sentinelle à nos côtés.

Ah – mais il ne faudra pas longtemps, moins d’une minute, avant que je suis contente qu’elle soit là, la sentinelle! Comme autant de détonations, les décorations de citrouilles se mirent à prendre vie, crachant leur poison et éclatant à tout va. Oh; nous étions sommairement protégés par le bar, en soit, mais moi? Moi j’ai eu la chance que madame la sentinelle soit entre moi et la citrouille la plus proche, et qu’elle face office de bouclier humain pour ralentir la progression du poison vers ma personne.

Et mon boulet humain? Abandonné aussi vite. Quand la citrouille à nos côtés explosa, moi qui suit lourde comme trois plumes, j’ai été un peu propulsée malgré moi vers papa, sonnée par les explosions, le vacarme, les cris, les lumières et les odeurs. En bonne proie, mon instinct premier est de fuir, tout bonnement. De laisser un courant d’air me porter au-dessus d’Everwilde, vers les nuages qui pourront me protéger. Enfin; ça c’est le premier réflexe. Alors que je me redresse, ma main vient glisser, tout naturellement, dans celle de maman; mes yeux l’inspectent comme pour m’assurer qu’il n’a pas respiré un des drôles de gaz et qu’il est en un seul morceau, et alors que ma main serre la sienne doucement, pression pour signifier que je suis là, un creux se creuse dans mon estomac;

Je suis étourdie et légèrement sourde, papa est là, mais Aubain, lui? Oh – Aubain sait très bien s’occuper de lui-même, mais ce n’est pas une raison de le laisser à lui-même, tu comprends? Je suis panique, chaque nouvelle détonation me cause un sursaut, mais à mes pieds des trèfles prennent vie sans que cela n’ait de sens, au fond. Qui était cette personne? Je ne la reconnais pas, de là où je suis (toujours sonnée, de toute manière). Je me doute, toutefois, que cette attaque est revendiquée par une branche de l’alliance. La violence; bien trop souvent la solution d’une part et d’autre. Je sais ce que papa en pense, de la violence; peut-être que c’est pour ça que je me tempère moi-même. Il serait si, si facile de laisser mes flammes me consumer tout entière pour les expulser dans le but de faire mal. Trop facile, même.

« Faut le retrouver » dis-je, à défaut de pouvoir dire son nom vu la présente compagnie, tout autant qu’elle fût occupée à autre chose que de nous écouter. Il m’est facile de voleter au-dessus du comptoir – moins facile de ne pas me faire piétiner, et dès que je sors de l’enceinte protectrice de l’arrière-bar, je me retrouve confronté à une dure réalité : une longue tresse, c’est facile à piétiner. « Aïe! » dis-je, attrapant ma tresse et tirant de toute mes forces pour la libérer. Mes yeux cherchent papa; veut clairement mieux rester ensemble, et ma main s’agrippe à elle alors que mon autre main, elle, tient mes pauvres cheveux. « Là! » et ma voix est comme un cri aigüe dans la cohue, alors que je pointe Aubain (ce que je crois être Aubain) à la tente de secourisme. Je n’ai point vu de renard se promener (que je n’aurais pas reconnu comme étant Aubain, de toute manière. Sa couleur n’était pas exactement la même, sa queue était un chouya plus courte, son museau un peu moins inquisiteur), et comme c’était là qu’il était supposé se diriger…

Je ne dis rien de plus; simplement j’avance, ma main tirant sur la tienne ici et là alors qu’on se fraie un chemin vers la tente. Et j’entends sa voix et c’est assez pour que je crois l’entendre lui; et s'il voulait qu’on lui ramène les blessés, et si c’était un acte for désintéressé, alors je ne pouvais faire autre chose que d’aider, moi aussi. « Aubain! » et ma main relâche ma tresse pour attraper le poignet du corps d’Emrys occupe, faisant momentanément un tandem de trois personnes bien curieuses. « Maman va bien » que je dis tout simplement – parce que je ne peux qu’imaginer qu’il s’inquiète pour lui tout autant que moi je le fais, tout autant que papa le fait pour nous. « On va t’aider »

Comment? Ça je ne sais pas encore. Mais si Aubain est (sur une technicalité) plus vieux que moi, et plus rusé aussi; j’imagine qu’il sait ce qu’il fait, alors je ne me pose pas plus de questions. Mais la vérité c’est que j’ai peur de retourner dans la foule, que je veux partir, que je n’ai pas la force de soulever des gens blessés, ni non plus la capacité de les soigner. C’est le domaine d’Emrys, ça. D’ailleurs, il est où, là, le prince des enchanteurs? « Oh, merde, le barman » que je dis, comme réalisant tout juste qu’on l’avait abandonné, inconscient, derrière son bar. Oh – sûrement que la dame sentinelle s’en occupe?

Entre deux instructions données (wow, Aubain est vraiment doué pour la gestion de triage de blessures), je te glisse; « Y’avait une grande femme qui te cherchait. Sentinelle. » rien de plus – y’avait pas le temps pour plus, de toute. Ah; si seulement cette remarque avait été dite à la bonne personne, hein.


Résumé~
+Noctipense que Dolorosa est enceinte
+Nocti se rend compte à ce que Nessie dit que Dolorosa est une sentinelle
+Vraiment kind of you Dolorosa de servir de meat shield

+Noctilucent est sonnée (j'ai roulé 3 ou 4, je me souviens plus ça fait longtemps)
+Prend la main de Nessie, part à la recherche d'aubain, tombe sur Emrys
+Nocti fully convinced que Emrys est Aubain
+Nocti propose d'aider (mais fuck all idée de comment elle va faire)

+++Nocti est déguisée en fée avec des ailes qui bougent, une robe bleue et un masque de bois sur la partie supérieure de son visage
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Noctilucent
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