Bienvenue à Everwilde, le point de rencontres de tous les contes et de toutes les histoires ayant jamais existé… Lieu merveilleux où les personnages de contes et légendes se retrouvent pour poursuivre leur destinée toute tracée, Everwilde s’est dressée il y a bien des années, terre créée par les frères Grimm afin d’y accueillir les personnages et de s’assurer que les histoires ne cessent d’exister. Afin de s’assurer que le monde merveilleux et ses convives puissent exister sans problèmes, un puissant artéfact a germé de ces histoires : le Livre des légendes et contes se devait d’assurer la continuité de ce qui était inscrit en son sein. Il s’assurait ainsi que les évènements clefs des contes ne soient détournés, mais c’était bien avant que certains ne commencent à nier leur destinée.

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overdose delusion ;; charlotte Everwilde :: Personnages :: Présentations :: Archivées
InvitéInvité
# overdose delusion ;; charlotte Dim 5 Nov - 15:59
charlotte dodgsonconte ou légende : alice au pays des merveilles.
personnage : alice.
âge : 21 ans.
genre : féminin, par défaut, comme tout le monde.
orientation : asexuelle.
origine : anglaise.
métier : scénariste d’animation.
particularité :aucune.

LES ERRANTS DU DESTIN INCERTAIN

distorsion: crée des illusions, distordant ainsi la réalité. à sa volonté, les fleurs se mettent à chanter et le thé semble couler pour l’éternité. cependant, rien de tout cela n’est réel, son pouvoir joue simplement avec vos sens et votre perception : de fait, si vous buvez ce thé, vous n’ingèrerez rien du tout.
limites/contrôle:

an asteroid is the protagonist of a tragedy il y avait toujours des ossements dans la forêt.
et quand tu les scrutais, quand tu les dépoussiérais,
tu remarquais
que tu étais un peu comme eux.
sous la terre, bouffée par les vers
dents éparses dans la boue
plus aucun ligament pour tenir debout.

ça te fascine, la façon dont les cris
s'éteignent
et le feu dans tes entrailles
s'allume.
tu manques de
zèle et de panache
dans un monde où tu te perds devant chaque miroir;
est-ce moi, là, sur la glace ?
puis-je mériter cette place ?

tu entends les cris des corbeaux entrain de mourir
et tu les enterres, à côté du puit
enfin tu es certaine qu'ils seront proches
de la renai(sang)ce.

il y a les flashs
bleus
rouges
il y a quelque chose qui t'anime, qui frissonne en toi.
la vision
floutée
psychédélique
tu souhaites atteindre le silence, absolu, éternel.
celui dont seuls les dieux se souviennent.
d'abord
il y a toujours le souffle.
il y a toujours encore les minuscules mouvements incontrôlés.
il y a toujours tes pensées véhémentes, ta peur froide et bleue.
tout brûle dans l'écho le plus chaotique,
des vrais silences, on n'en vit presque jamais.

le vrai silence, tu le trouves uniquement lors que la mort frôle la vie et prend un virage trop serré;
la vie expulsée hors de la voiture,
la vie expulsée du corps,
rendue au salut divin.
puis il y a ces cinq secondes de répit.
cinq secondes.
juste cinq secondes.
cinq putain de secondes.
où tu respires l'euphorie,
le bonheur de vivre et tout voir, tout contrôler tout comprendre tout vivre puis mourir dans une béatitude à peine déguisée
où tu te sens bien dans ta peau,
proche d'une sérénité
que tu n'avais jamais pu approcher.
cinq secondes où, pour une fois, étonnamment, tu respires à plein poumon.

et tu recommenceras.
tu chercheras toujours. ce moment où tout le poids sur tes épaules s'est déversé dans la mer.
celui où tu t'es sentie vivante.
celui où tu as l'impression d'avoir ta place.
celui où ta peur s'est éteinte comme un volcan passe en dormance.
tu pourrais presque les déchirer, les arracher, les écorcher,
tu feras tout, n'importe quoi pour revivre ces cinq putain de secondes.
quitte à tâcher tes mains d'un rouge sang, à force de t’ouvrir pour mieux grandir
pour devenir toi
et non cette tâche sur les lignes qui respire faussement magie et émerveillement
((une alice)).
à force d'écarteler ton corps
à force d'entacher ton âme
à force de flirter avec la mort
tu perdras
un morceau de toi.

réalité brouillée
vibrante
tu peines à la supporter
à la vivre
alors tu te penches vers la mort
la plus douce
la plus calme
l'écumes se déposant sur la plage
et se retirant calmement hors du rivage.

après la mort, et particulièrement après la vie,
tu as touché l'olympe et tu es revenue
folle—

Les Sentinelles du Conte Inéluctable : charlotte ne les comprend pas, mais elle n’arrive pas à les mépriser entièrement. peut-être sont-ils enfermés dans un carcan que leur a dicté leurs contes, ces règles ? charlotte trouve cependant qu’ils sont perdus dans leur recherche de l’ordre, de la perfection, qu’ils en oublient la compassion. sont-ils même heureux ?
Les Errants du Destin Incertain : charlotte aime son symbole. elle aime le sentiment que ça lui procure, de se sentir pousser des ailes, voletant bien au-delà des pages de son destin. mais elle ne peut pas rester dans le confort de la familiarité pour toujours n’est-ce pas ? pour l’instant, elle s’y plait, ici. le confort des plumes fatiguées de voler. les doutes que l’on n’a pas - où plus - besoin d’exprimer afin de les comprendre. charlotte se sent en sécurité.
L'Ordre de la Trame du Destin : charlotte est légèrement adoucie par leurs intentions plus calmes que celles des sentinelles. leurs membres semblent plus complexes, plus ouverts, et elle apprécie grandement cette ouverture d’esprit. la discussion sincère et douce semble primer sur la violence visant à te faire rentrer un idéal dans le crâne. et charlotte sera prête à discuter.
Alliance des Récits Évadés : charlotte les comprend. vouloir échapper à sa destinée, être enfermée dans des pages sans pouvoir bouger de son propre chef, c’est étouffant, aliénant. elle ne les voit pas comme des fauteurs de troubles, plus comme des personnes désespérées d’achever ce qu’elles auront elles-mêmes envie de coucher sur le papier.

narcoleptique questionne constamment la réalité ne fait pas confiance en son cerveau dissocie à longueur de journée   ne t’écoute probablement pas, et fixera le plafond pour compter les creux dans le luminaire afin d’essayer de s’ancrer dans la réalité son pouvoir s’active souvent lorsqu’elle est sur le point de s’endormir ou qu’elle se réveille son imagination peut aller très loin, trop loin peut-être se blesse souvent en tombant à cause de la cataplexie beaucoup de bleus tâchant ses jambes, tapissés de coupures rugueuses à force de d’écorcher sur du béton visage monotone, presque robotique, si l’on ne compte pas les pertes de tonus de certaines parties de sa chair rêves et cauchemars étonnamment vifs, alimentant peut-être les illusions de son pouvoir ne semble pas réellement avoir de volonté propre, ses expressions et sa voix sont juste.. plats, fades, effacés. cache visiblement bien son tourment intérieur ne lâche jamais ses émotions en présence d’autres personnes, car très anxieuse, elle mourrait d’embarras et paniquerait à une vitesse folle, perdant les pédales ne se retrouve donc avec un grand manque de sociabilité, de savoir sur la façon dont on se comporte en général, de la façon dont les gens normaux s’expriment ne porte pas de jugement avant de rencontrer la personne en question toujours beaucoup de compassion pour les autres, essaie toujours de les comprendre, mais n’arrive jamais à les réconforter peu importe ses efforts son inhabilité sociale la bloque ne saurait pas se décrire, n’a aucune idée de ce qui fait d’elle, ((elle)) dessine très bien, dans un style très cartoon mais des idées sombres provenant de ses propres démons finissent toujours par ternir le papier ne pleure que très rarement préfère les jours de pluie, où elle peut boire une tasse de thé chaud en dessinant le prochain scénario dû pour dans deux semaines, alors que ses démons se penchent sur elle et murmurent dans son oreille a coupé ses cheveux il y a quelques années, persuadée qu’elle n’était pas faite pour être une ((Alice)) se questionne, se torture, sur la condition des personnages de conte, condamnés à suivre des chemins qu’ils n’ont pas pu tracer d’eux-mêmes   pas que sur sa propre destinée, de fait empathique, elle ressent la frustration des personnages qu’elle rencontre : leurs doutes, leurs convictions et tout finit par nager dans sa tête et elle se demande : « quel sentiment m’appartient déjà ? » aime grimper dans les arbres, caresser des chats et les entendre ronronner aime écouter des conteurs racontant leurs histoires, leurs tragédies, leurs moments d’héroïsme sifflote beaucoup de mélodies quand personne ne semble prêter l’oreille a toujours beaucoup de pansements colorés sur elle, ainsi que quelques médicaments antidouleurs prescrits si elle tente de sourire, il aura juste l’air faux, forcé, simplement tendu par des fils comme si elle n’était rien de plus qu’une poupée dans un immense show de marionnettes évite constamment d’affronter ses émotions, les a enfermé dans le sous-sol, et on ne sait rien concernant les dommage qu’ils commettront en sortant voudrait s’écarter du monde autant que possible, s’effacer, fermer une fois pour toute son conte : plus d’Alice, plus de chat, plus de reine, pas même un lapin autre fois amusée par son pouvoir faisant apparaître des champignons colorés et rebondissants, maintenant fatiguée et quelque peu effrayée de ne pas savoir ce qu’il se cache quand elle a les yeux fermés aimait son conte, avant. fascinée par son destin, avant. mais à présent, elle ne sait plus qui elle est, si elle est Alice, charlotte, ou personne ? la magie a disparu, wonderland est gris n’a que très peu de possessions, ne s’attache que très rarement aux objets a une fascination pour la nature et le monde marin plutôt débordante ne sait pas se battre, n’en a même pas envie. mais elle ne sait pas fuir non plus, elle préférerait avoir mal, au moins, on se sent en vie, dans ces cas là boit une quantité de thé astronomique très douée en tressage de couronnes de fleurs n’accepte que très peu de personnes dans son cercle intime n’arrive que très difficilement à donner sa confiance, sans être paranoïaque et sentir une plaie de couteau dans son dos couvre ses miroirs avec des draps n’a pas peur de la douleur, au contraire, elle l’accueille les bras ouverts

Quelle filière a-t'iel intégré à Everwilde High ? Était-il content de ce choix ? le bien. elle était mitigée par rapport à ce choix, mais elle ne voyait pas d’autres alternatives.
A-t'iel signé le livre ? non.
Que pense-t'iel de la destinée, de sa destinée ? que ça n’a aucun sens, qu’elle ne se sent pas ´alice ´, qu’elle ne ressent aucun lien avec ce contre, cette fameuse destinée. n’a-t-elle pas le choix de créer son propre chemin, créer un tout nouveau conte, dérivant du premier ? à la place de toujours rester sagement dans les rangs comme des petits soldats de plomb ?
Quelle est sa relation avec le personnage qui l'a précédé ? l’ancienne incarnation de la fameuse Alice, qui a suivi son destin à la lettre, comme un petit mouton de berger. adélaïde a tout ce qu’il y a de plus névrosé, à cheval sur les règles, anxieuse au point de trembler en faisant couler son café le matin. charlotte n’a jamais ressenti de connections avec elle. pas de mépris, pas d’agacement, pas de tristesse, de pitié. elle a choisi de suivre les rails, et alors ? la pierre était dans son camp, elle doit en assumer les conséquences après tout. mais charlotte ne peut tout de même pas su presser le petit pincement au cœur quand elle regarde adélaïde dans les yeux, droit dans son âme. et charlotte ressent alors de la peur. peur de devenir pareille. peur, que lorsque son conte aura retourné sa dernière page, qu’elle devra élever en quelques sortes un nouveau petit poussin pour l’emmener à l’abattoir des rêves et des espoirs. lui professant fantaisie et miracles, adélaïde pour charlotte.


histoire —
;;CATALOGUE DES GOSPELS

i. tu entends les cigales.
ton estomac se retourne.

tu es allongée sur ton lit, attrapée par plusieurs couvertures.
tu vois des anges devant ton lit.
pas ces anges chérubin tout menus, voletant.
des vrais anges, au dos charcuté pour faire des ailes de chair, plus d’yeux qu’il n’en faut sur le visage, nus et dégoulinant d’ichor.

tu sais très bien que ce n'est pas réel.
que c'est une machination de ton cerveau qui crie à la panique.
une simple paralysie du sommeil, comme tu as l'occasion de faire.
suite symphonique d’un cauchemar lié à ta condition.

les pins grincent sous le poids des fantômes.
la cime des arbres hume une chanson que tu connais déjà.
tu rêves de champs de pavots où naissent les étoiles,
et tu te perds de plus en plus entre les épis et les comètes.

le monde est un peu flou — fou,
les peintures rampent, bras en dehors du cadre,
les sculptures fument, laissant un air mentholé.
tu ne sais pas vraiment ce que tu fais là
tout a l’air vrai et tout a l’air faux
tu t’es perdue
où se trouve la réalité ?

le miroir dit,
— nettoyer ses intestins dans le lavabo est strictement interdit.

souviens toi de respirer. souviens toi de respirer.

LES RIVIÈRES ET LES RACINES DE TOURNESOL RESSEMBLENT À TES VEINES.
arrache les—

aujourd’hui, marque la fin d’un long rêve,
bien enfoui à l’intérieur de toi.
des visages rendus cireux,
t’abandonnant à l’arrière.

`comme une prédilection‘, tu murmures, lassée, dans un souffle.

tu penses, étrangement,
— si je ne m’étais pas plainte auprès d’adélaïde que son livre était aussi ennuyeux qu’une pierre tombale, peut-être que ça ne m’arriverait pas. peut-être que j’ignorerais. il y a de la béatitude dans l’ignorance, à ce qu’on dit.
les feuilles d’un arbre tombant sur le sol sans un bruit, la voix éloignée de grande sœur adel prononçant parfaitement chaque mot comme si c’était sa deuxième nature, et puis un terrier de lapin.

;;ENDLESS FALL, THE BEST SEASON

ii. il fait trente degrés. tu fais les ourlets de tes rêveries.
(est-ce des rêveries lorsque les papillons de nuit te hantent ?)
des gestes robotiques, carrés
le crayon glissant majestueusement sur le papier.

tu as l’impression de chuter. d’être tombée dans un trou, la tête la première.
mais cette chute ne s’arrête jamais.
incertaine. trouble. doute.

tu as voulu pleurer, d’abord.
puis tu as vite abandonné l’idée, adelaïde se serait sûrement fâchée. tu ne veux pas une nouvelle cascade de thé chaud sur la paume de tes mains.
elle dit toujours que tu es étrange, naviguant en orbite dans tes pensées, que ça ne devrait pas être comme ça, que c’est une erreur.

— oui, je crois qu’il y a une faute, une coquille quelque part dans le texte. cette gamine est une erreur absurde. le monde doit tourner à l’envers, il n’y a aucun moyen qu’elle ait vu le jour dans mon sillage. délirante, peut-être, adel tricotait — encore et encore, jusqu’à ce que la louve signale l’arrivée de la lune — des personnages que tu ne reconnaissais pas. mais bizarrement, il n’y avait pas une seule trace de colère dans ses yeux.

juste de la honte et un profond regret.

perdue.
comme toi.
il n’y a aucun moyen de retrouver la maison si les deux agneaux sont perdus, n’est-ce pas ?

alors tu passes ton temps à démêler
le vrai du faux
le faux du vrai
l’imagination et la réalité
tous mélangés
dans une soupe putride.

et tu retombes dans un sommeil violent, heurtant le parquet, et viennent à toi les illusions que ton cerveau a peint depuis que tu es née.

;; MISS LIDDELL DROPS A BOMB

iii. adelaïde colore son teint
de bleu de violet et de jaune
tâches tinctoriales sur le cou et les joues
et te tire par le bras
en dehors, loin, très loin
de ce quartier de londres.

c’était juste vous deux.
juste adel et toi.

adelaïde n’avait pas grand chose dans les poches. pas un rond. elle enchaînait petit boulot sur petit boulot, et te chuchotait de ne pas t’en faire, qu’un jour le soleil brillera, et tu seras un jour dans une villa au bord de mer, à costa del sol, sirotant des virgin mojito sous l’ombre des parasols.

((pourquoi sans toi ? j’ai peur sans toi. j’ai peur de toi. mes pensées s’entremêlent.))
((et pourquoi je peux goûter le venin du mensonge sur tes mots ? ce n’est pas beau, les mensonges.))

mais tu y as bêtement cru, tu crois toujours adel, même quand il faut faire les maigres valises pour rejoindre un autre appartement délabré dans tous les coins de la ville.
mais parfois, le loyer ne se payait pas. adelaïde pleurait, mais elle se cachait, elle ne savait pas que tu regardais, derrière la porte. et vous deviez partir.
mais cette fois-ci, adel s’arma une tente,
et c’était grande sœur et toi sous les pluies d’étoiles, toi blottie bien au chaud sous les bras de ta lumière, et elle frissonnant terriblement.

vous deux contre le reste du monde.

tu n’avais ni les mains de père (était-ce dieu ? un être cosmique ? un ange bourré qui écrivait des balades sombres sur du papier jauni ? tu ne pouvais qu’imaginer à quoi ressemblerait ses mains—) ni celles de grande sœur. et tu te demandais quelque part si tu n’étais pas née dans la boue d’une église abandonnée, où poussent rarement des fleurs.

tu passais du temps avec adel.
vous étiez toujours entrain de coudre, de dessiner des chats, des lapins,
et tu profitais du léger sourire sur son visage.

elle t’avait susurré, presque imploré, de suivre la danse. de signer le livre.
et c’est à demis mots qu’elle te dessina devant tes yeux à peine ouverts la destinée qui t’attendait, ton conte à finir d’écrire, un petit agneau à élever, comme elle t’a élevée.
tu n’y as pas cru. tu venais de tomber après tout, comme si le sommeil allait t’enlever des bras de ta lumière, alors tu as cru que tu hallucinais. rien de tout cela n’avait de sens, tu es ta propre personne ! certes, tu es étrange, bizarre, tu ne souris que très peu, toujours ailleurs, une main sur du papier griffonné… mais tu n’as pas l’étoffe d’être Alice. qui es-tu, alors ?

puis le lendemain, tu t’es réveillée seule.
tu as cherché adelaïde,
mais aucune trace.
pas un mot.
pas un bisou sur le front.
juste la froideur de l’absence,
la douleur du manque.

((similaire à la douleur du thé, étrangement))

tu as l’impression de t’être perdue devant les grilles saintes.

vous aviez tant voyagé, avec.. elle, tu ne sais plus comment la décrire à présent, que tu n’avais aucune idée d’où tu te trouvais. c’était délabré, mais un peu céleste, comme le ciel rayonnait sur cette seule partie d’un sale quartier — du moins c’est l’impression que le paysage abandonné te donnait. tu grimpais sur des débris, sale comme tu étais, gras comme étaient tes cheveux, et par le miracle des cieux : tu trouvas un endroit béni, une église, d’où poussait des fleurs. tu te lovais entre les racines, un peu comme tu le faisais avec adel, et tu t’endormis, là, perdue à l’extérieur comme à l’intérieur.

{suite plus tard}



rei ayanami(neon genesis evangelion) je suis unnescient, heureuse de vous rencontrer!


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Aubain MalebrancheErrant.e du Destin Incertain
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# Re: overdose delusion ;; charlotte Dim 5 Nov - 16:25
Bienvenue !!
iiiih Alice, bon choix de scénario :love: et bravo pour le pseudo, c'est un joli clin d'oeil à Lewis Carroll krkr
Et bb Rei en feat on approuve totalement :star:
Hâte de voir ce que tu nous réserves ! :keur:
Aubain Malebranche
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NessieErrant.e du Destin Incertain
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# Re: overdose delusion ;; charlotte Dim 5 Nov - 23:23
omg alice ... je dis oui ... trop trop hâte de lire la suite mais déjà rei je suis trop fan je lui donnerais tout
bienvenue !!!
Nessie
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Alastair ArthursonTrop beau pour la torture
Trop beau pour la torture
# Re: overdose delusion ;; charlotte Lun 6 Nov - 3:00
Annnnhw, Alice :nyeh: :nyeh: :nyeh:

Il me tarde d'en lire plus et d'en apprendre plus sur ton interprétation au sein d'Everwilde :keur:

Bienvenue à toi :star: :star:
Alastair Arthurson
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Jaden FrumosAlliance des Récits Évadés
Alliance des Récits Évadés
# Re: overdose delusion ;; charlotte Lun 6 Nov - 18:57
bienvenue!! j'aime déjà beaucoup ce que je lis, hâte de voir la suite et l'évolution de charlotte :love:
bonne chance pour ta fiche!
Jaden Frumos
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the knight
A knight lives to serve. To protect. To sacrifice.
Rhapsody NightingaleCervelle d'oiseau
Cervelle d'oiseau
# Re: overdose delusion ;; charlotte Mar 14 Nov - 18:29
Ok son pouvoir + sa narcolepsie c'est :nyeh: si qualitatif, j'adore!

Elle fait vraiment de la peine, j'espère qu'elle se trouvera sur le chemin, quelque part entre le destin et la liberté...

Bienvenue parmis nous! :plz:
Rhapsody Nightingale
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Dolorosa DelarosaSentinelle du Conte Inéluctable
Sentinelle du Conte Inéluctable
# Re: overdose delusion ;; charlotte Mar 5 Déc - 2:30
hohoho je réalise que j'avais pas lu les updates sur cette fiche résultat je suis venue me régaler.....

charlotte alice my beloved  — je réalise que mon enthousiasme pour le {oomph} of it all est contreproductif à mon envie de la voir vivre ? sa meilleure vie (ish) // mais c'est l'éternelle dichotomie................

Résultat bienvenue !!! :nyeh: vrm au plaisir d'en lire plus encore !!

(something something j'ai besoin de cuisiner un lien pcq ??? them girlies ?? it can only taste good and terrible)
Dolorosa Delarosa
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Farah DarazErrant.e du Destin Incertain
Errant.e du Destin Incertain
# Re: overdose delusion ;; charlotte Jeu 4 Jan - 13:31
omg une fiche MERVEILLEUSE sur laquelle je ne suis pas passé snif en plus alice oh :infire: :infire:
le délai pour finir ta fiche étant cependant passé, je viens d'abord aux nouvelles ! es-tu toujours motivé.e pour finir ta fiche et/ou nécessite davantage de temps ? (avec les fêtes, on comprendra :love: )
si tu n'es au contraire plus motivé.e et que tu désires nous quitter, n'hésite pas non plus à nous le faire savoir !
sans réponse de ta part, je devrais néanmoins archiver ta fiche, bonne continuation et bon courage !
Farah Daraz
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# Re: overdose delusion ;; charlotte
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